« Les fenêtres de Neauphle, ce que j’ai appelé ainsi parce que c'est dans cette maison de Neauphle-le-Château que certains tableaux ont aussi commencé à être peints.
Je dirais que le recours aux fenêtres de Neauphle ou le recours au Château de Chambord, ça n’existe pas.
Ce que je crois. Elle peint partout, vivante ou morte, Laverdac. La lumière est partout et dans la tête de Laverdac elle est souvent éblouissante. Même la lumière de Venise, si discrétement moribonde, c’est dans sa tête.
L’imaginaire c’est toi, Laverdac, ce n'est pas le monde extérieur. »
Marguerite Duras
Printemps 1991

www.artrealite.com/michelelaverdac.htm
laverdac.free.fr/html/frame.htm